"Doutez si vous voulez, de celui qui vous aime, ,d'un homme ou d'une femme ou même d'un chien, mais non de l'amour même.." Alfred de Musset..
..... ENTRE NOUS......... une histoire de mots
"Doutez si vous voulez, de celui qui vous aime, ,d'un homme ou d'une femme ou même d'un chien, mais non de l'amour même.." Alfred de Musset..
Certains hommes ont peur de l'indépendance de leur femme tout simplement parce qu'il est plus facile d'avoir une femme sous sa coupe qu'une femme indépendante. Les femmes sont de plus en plus fortes, c'est cela qui effraie les hommes. Mais de là à ce qu'elles fassent dix pas en arrière pour que les hommes se sentent mieux non... Qu'en pensez-vous??? Cadeau pour vous messieurs cette beauté très indépendante..
"L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur
V. Hugo"
Une poésie qui vaut son pesant d'amour et de tendresse... V. Hugo a raison...Qu'est-ce que la vanité, la gloire ou la richesse à côté de l'amour..?
Les mots des femmes que nous sommes inspirent et donnent à réfléchir. Nos écrits évoquent l'amour, mais aussi le monde, la paix, le rêve, le rire et la richesse (ce que je vous souhaite en cette fin d'année qui approche). Nos mots qui disent la vie tout simplement, cette vie que nous donnons et que nous protégeons avec abnégation, bravoure et volonté.... Nous sommes l'avenir de l'homme a dit Aragon relayé par Jean Ferrat qui en fit le titre de l'une de ses plus belles chansons.
Etes-vous d'accord Messieurs??
En faisant mes courses cette semaine, un pauvre homme assis dans la rue me tend la main pour une pièce. Je m'arrête et discute avec lui. Il m'a inspiré cet article sur l'indifférence...... Triste!!!! Trés triste!!!!!!.
Toi le déraciné, le sans- logis ,tu demandes un toit, personne n'est là....
l'indifférence.....
Tu réclames un travail, toi qui veux gagner la bataille.. il y a une faille....
l'indifférence....
Tu perds peu à peu ta personnalité et tu te laisses aller.....
l'indifférence....
C'est la mort de tes illusions, de tes rêves, tu en crêves.....
l'indifférence.....
Tu végètes sans certitude du lendemain et de tendue point de main....
l'indifférence.....
Tu dépends de la charité des uns et des autres, dans la boue tu te vautres....
l'indifférence....
Monde d'aujourd'hui et de demain créé de nos mains dans....
l'indifférence.....
Etes-vous d'accord avec cette maxime? N'est-ce pas un paradoxe que d'être "libre" de changer son "esclavage", quand on sait qu'être libre c'est n'être soumis à aucune contrainte encore moins à un esclavage?...
Huit jours s'écoulèrent encore et Dieu fronça les sourcils
En voyant l'homme revenir avec la femme
Et la pousser devant lui en disant :
Seigneur, je ne sais comment cela se fait
Mais je suis certain que cette créature
Me procure plus d'ennui que de plaisir.
Reprends-là, je n'en veux plus....
A ces mots, Dieu se fâcha :
Homme retourne dans ta hutte avec ta femme
Et apprends à la supporter....
Si je la gardais, dans huit jours, tu m'importunerais
Encore pour la ravoir.....
Et l'homme se retira en disant :
Malheureux que je suis, deux fois malheureux,
Car je ne puis vivre avec elle
Et je ne puis vivre sans elle.
Huit jours après, l'homme penaud vint trouver Dieu :
« Seigneur, la créature dont tu m'as fait don, empoisonne
mon existence, elle bavarde sans trêve,
elle se lamente pour un rien, elle pleure et rit tout à la fois,
elle est inquiète, exigeante, tracassière,
elle est toujours après moi..
elle ne me laisse pas une minute de repos.
Je t'en prie Seigneur, reprends-là
car je ne puis vivre avec elle !!
Et Dieu paternel, reprit la femme.
Mais au bout de 8 jours, l'homme revint vers Dieu :
Seigneur, ma vie est bien solitaire depuis que je
t'ai rendu cette créature. Elle chantait en dansant devant moi,
et quelle suavité quand elle me regardait,
sans tourner la tête, du coin des yeux.
Elle jouait avec moi et il n'y a sur les arbres
aucun fruit qui ne soit aussi bon que ses caresses.
Je t'en prie Seigneur, rends-la moi, je ne puis vivre sans elle.
Et Dieu lui rendit la femme. (à suivre)
Dieu prit :
La rondeur de la lune et l'ondulation du serpent
La sveltesse du roseau et la fraicheur de la rose
La légèreté de la feuille et le velouté de la pêche
Le tendre regard du chevreuil et l'inconstance de la brise
Les pleurs des nuages et la gaieté du soleil
La timidité du lièvre et la vanité du paon
La douceur du duvet qui garnit la gorge des moineaux
Et la dureté du diamant
Le goût sucré du miel et la cruauté du tigre
La froideur de la neige et la chaleur du feu
Le caquet du geai et le roucoulement de la tourterelle
Il mêla toutes ces choses et en forma la femme.
Elle était gracieuse et séduisante et la trouvant
Plus jolie que l'ibis ou la gazelle,
Dieu, fier de son oeuvre, l'admira.
Il en fit cadeau à l'homme.....
A suivre..